Hélène Merlin-Kajman

11/11/2017

 

 

1) Un casse-tête théologique (il est malfaisant et puissant, et Dieu qui est tout bon et tout puissant le tolère : c’est difficile à comprendre).

2) Une source de terreur. Et moi, ce sont les démonologues qui m’épouvantent.

3) Diabolus, ce qui sépare. La preuve que tout n’est pas symbolique.

4) Une source d’inspiration inépuisable des peintres, qui bizarrement le transforment souvent en personnage drôle ou poignant. La gueule transpercée par la lance de Saint-Michel, il est si triste, si abasourdi !

5) Une foultitude d’expressions. J’aime particulièrement celle-ci : se démener comme un beau diable.

6) Un jouet, qui le fait sortir brusquement d’une boîte. Auprès d’un enfant, succès garanti.