Hélène Merlin-Kajman

13 avril 2013

 

 Les Grecs, sans fin

 

A coup sûr, les Grecs ont eu, de la beauté, des idées plus complexes que ce que nous croyons, comme Marcel Hénaff, Gérald Sfez et Anne-Lise Darras-Worms nous l’ont déjà suggéré.

Mais l’on pourrait presque résumer l’importante contribution de l’helléniste Pietro Pucci à notre réflexion en disant : l’association de la beauté et de la « littérature » n’est pas grecque ! Car en matière de « littérature », tout est plus intense que cela, avant que la raison et la morale ne s’en mêlent.

A la question « Qu’aimeriez-vous que l’école fasse lire ? », Xavier répond : « Ce qui donnerait aux enfants le goût de continuer chez eux ». Ne serait-ce pas, justement affaire d’intensité – de bonheur aussi ?

Et l’exergue de la semaine ajoute à notre florilège transitionnel une citation de Lorand Gaspar.